Ma patience et ses limites, culpabilité maternelle.
Je m’en plains souvent, surement trop, mais les couchers de Liloute, c’est tout un roman: ils sont en dents de scie, m’usent, me fatiguent, me désespèrent, offrent parfois du répit, me déconcertent, me poussent à bout, me laissent vidée et coupable d’avoir « mal fait », d’avoir « raté ».…