Mission du printemps : trier et marquer les vêtements des enfants !

tri et etiquettes pour vetements

Et si on profitait du confinement pour ranger ? C’est parti pour le tri des habits des filles et leur étiquetage : zoom sur les etiquettes pour vetements !

Cette année, circonstances exceptionnelles oblige, j’ai besoin d’avancer le ménage de printemps et le tri des armoires. Objectif : tenter de mettre à profit le confinement pour continuer d’épurer le dressing des filles et en profiter pour ressortir les etiquettes pour vetements pour marquer les vestes, gilets, sacs…

Tri des armoires des enfants : garder l’essentiel

Outre le fait que le tri permet d’éliminer les vêtements que mes filles n’aiment plus ou qui sont devenus trop petits, il m’oblige à réduire la quantité de vêtements dans leurs armoires. En effet, dans ma démarche qui tend de plus en plus vers le minimalisme (bon d’accord, à ma façon…) je préfère ne plus accumuler de vêtements qu’elles ne portent pas ou acheter en trop grande quantité.

J’ai fait un constat tout simple : mes filles portent toujours les mêmes tenues. Un peu comme moi, elles ont leurs fringues favorites et cela leur suffit : le tri s’effectue donc avec elles. Aussi, comme elles n’ont plus qu’une grosse taille d’écart, je passe des vêtements d’une armoire à l’autre : plus besoin de (trop) stocker !

Les habits de la saisons précédente de ma grande sont donc soit transférés chez ma petite soit mis en carton pour l’an prochain. Ceux de ma petite iront certainement chez ma filleule pour les belles pièces et pour le reste tant pis… En effet Miniloute abîme beaucoup ses vêtements… mais elle les perd beaucoup aussi !

etiquettes vetements

Etiquettes pour vetements : la solution aux pertes et oublis

Ce qui nous amène au point suivant : les étiquettes pour vêtements ! Mes deux filles perdent fréquemment leurs bonnets, tours de cou, vestes ou gilets… Comme tous les enfants ! Les étiqueter permet de les retrouver plus facilement dans la boite à objets trouvés de l’école ou au centre de loisirs.

Bien sûr, ces structures étant fermées pour le moment, je n’ai pas à m’en soucier : un point positif pour l’école à la maison ! Mais je me prépare à la reprise d’ici quelques semaines en étiquetant leurs habits après le tri.

J’ai commencé à étiqueter les vêtements, chaussures et affaires de mes enfants dès l’entrée de Liloute à la crèche. En général, je colle des étiquettes sur les gilets, les manteaux, les sacs à dos, les boites à goûter, les bonnets et les écharpes. J’ai arrêté de coller dans les chaussures après la garde en crèche ou en garderie.

Etiquettes thermocollantes ou autocollantes ?

On retrouve en général deux types d’étiquettes :

  • les étiquettes thermocollantes : essentiellement pour le textile, elles s’appliquent au fer à repasser et sont réputées pour leur tenue dans le temps. Bon, je déteste repasser donc ce ne sont pas mes préférées, mais force est de constater qu’elle tiennent vraiment bien.
  • les étiquettes pour autocollantes : peuvent convenir pour les vêtements et certains objets. Si on peut penser qu’elles tiennent moins bien que la catégorie précédente, beaucoup sont conçues pour résister au lave linge et/ou lave vaisselle. C’est ce type d’étiquettes que j’utilise depuis plusieurs années.

A lire aussi : Comment choisir une étiquette vêtement pour enfant, par Une-maman.fr

Et vous, vous êtes adeptes des étiquettes vêtements pour les affaires de vos enfants ? Vous allez aussi vous mettre au ménage de printemps dans leurs dressings ? Dites moi tout en commentaire !

Article sponsorisé.

4 commentaires

  1. Je perçois l’importance que ton rôle de mère a pour toi. En revanche, je ne perçois pas l’urgence de faire un article pour marquer les vêtements de tes enfants, alors qu’ils ne peuvent pas les perdre parce qu’ils sont aussi confinés que les copains pour une durée indéterminée, et que du monde meurt dehors.

    Tout ceci me parait assez dérisoire.

    Je viens en aide depuis des années à des gens démunis du tiers monde, de mon propre chef, parce que je n’aime pas l’idée qu’une partie importante de mon agent aille rémunérer des permanents, ainsi que des sociétés de racolage qui abordent les gens dans des lieux publics pour leur faire envoyer des dons en prenant une com au passage.

    Que dire à une mère célibataire qui vient de perdre son job payé très très en dessous des standards du marché pour cause de coronavirus, qui ne perçoit aucune indemnité compensatoire, et qui n’arrive plus à nourrir son enfant?

    Que dire à ces gens que le confinement va épargner et qui continueront à mourir parce que la crise économique persistera?

    Et même avant çà, que dire à ces mères qui ne pouvaient pas scolariser leurs enfants parce qu’elles n’avaient pas les moyens de leur acheter un uniforme?

    Que la mission importante à mener en ce printemps est de savoir marquer les vêtements de leurs enfants?

    D’ailleurs ils ont peu de risques de les perdre parce qu’ils en ont rarement plus que 2 : celui qu’ils ont sur le dos, et celui qu est en train de sécher.

    Il y a tellement de misère dans le monde que personne n’a les moyens de l’éradiquer. Mais est-ce une raison pour baisser les bras et pour ne rien faire?

    J’ai tendance à être un donneur de leçons et je fais attention à éviter ça, d’autant que malgré tous mes efforts je ne suis pas beaucoup plus exemplaire que les autres, mais il y a des limites, et j’estime que là elles sont atteintes.

    Il y a des gens qui suivent ce blog. Et si tu faisais le projet d’élargir son horizon un peu au delà de ton nombril pour faire des articles qui élèvent nos âmes?

    D’expérience, il n’y a pas de mal à faire du bien. Je n’ai jamais eu de problème d’argent, et à chaque fois que j’ai été sur le point d’en avoir il s’est passé un truc inattendu qui m’en a amené.

    Je suis fondamentalement convaincu qu’il y a là une relation directe entre mon bien être financier (tout est relatif je suis content avec assez peu) , et le budget hélas trop important que je consacre à essayer d’apporter un peu de baume au cœur dans le tiers monde. C’est gagnant gagnant.

    Mais même en France, il y a tellement d’autres choses utiles dont tu pourrais parler comme par exemple comment occuper ses moutards lorsqu’ils sont confinés, ou comment briser le confinement pour les emmener au parc afin qu’ils puissent contaminer leurs grands parents (à lire au second degré évidemment).

    1. Je venais d’écrire un joli pavé respectueux et explicatif en réponse à ton commentaire.
      Fausse manip, il s’est effacé et comme j’ai également une vie en dehors du blog, je vais essayer de te répondre de façon concise et respectueuse. Comme tu fais l’effort de ne pas me donner de leçons (je ne suis peut être pas tout à fait d’accord sur ce point mais c’est un ressenti personnel, passons), je fais l’effort de faire preuve de tact et de diplomatie.

      Je suis consciente que mes écrits et articles peuvent paraitre futiles à certains, après tout, chacun ses goûts et opinions. Je te remercie pour tes suggestions de sujets d’article. Voilà pour la compréhension et la gentillesse.

      J’ai moi aussi mes limites, comme tout être humain. Je suis propriétaire de ce blog, dans l’idée mais aussi légalement, et il n’a pas vocation à être un media d’information ou d’utilité publique. De ce fait, depuis 8 ans, j’y publie au gré de mes envies, que ce soit des coups de gueule, des articles futiles aux yeux de certains, et même des articles sponsorisés (l’argent, sujet tabou). Je considère que c’est tout à fait normal que certains articles plaisent plus que d’autres, et que mon blog puisse n’intéresse pas tout le monde. Et ce n’est pas grave. Mais cela reste MON espace. Je fais attention à rester respectueuse dans mes écrits ou en commentaires. Je les modère manuellement tous les jours et je ne censure presque pas (hors injures ou spam intempestifs, bien sur). Je veille à répondre à la plupart d’entre eux. Mais ça reste un blog.

      Apparemment, ma vie de mère et de femme est au centre de mes préoccupations. Merci de me l’apprendre, cependant, fort heureusement « dans la vraie vie », ce n’est pas le cas. Apparemment, je pourrais contribuer à l’élévation des âmes de chacun. Je n’ai pas cette capacité, je le crains, mais je suis heureuse de savoir que certains ont toujours cette ambition. Personnellement, je crois au pouvoir des livres, des rencontres et actions enrichissantes, de la vie en dehors des écrans, aux organisations et associations qui font ça bien mieux que moi. Ce petit blog n’a pas l’ambition d’être une source de savoir ou de connaissances. C’est juste chez moi, en partie.

      En partie, oui. Parce que ma vie va au delà, et bien heureusement. Je choisis ce dont je veux parler ici. De ce fait, il y aura sans doute prochainement d’autres articles « futiles et dérisoires » ici, des coups de gueule, des tranches de vie, des articles « comment je ne saute pas par la fenêtre du rez de chaussée pendant le confinement » ou « pourquoi je fais des crises d’angoisse la nuit ». Ou pas. Peut être que je n’écrirai rien. Et c’est mon choix.
      Ma vie va au delà de l’écran, donc, comme la tienne certainement. Je suis ravie de savoir que tu cherches à faire du bien autour de toi, à penser aux autres. C’est quelque chose qu’il faut encourager et qui devrait être normal. Moi aussi je fais de mon mieux, je donne physiquement et financièrement à des associations et causes diverses depuis plusieurs années, mais je n’ai aucune envie de me justifier ici.

      Je ne force personne à lire, et je trouve ça bien normal que certains articles n’intéressent pas tout le monde voire déplaisent. Dans ce cas, il suffit de passer son chemin et d’employer son temps ailleurs à des choses plus intéressantes pour tout le monde. Et je suis certaine qu’il y a plein d’autres sites qui sont bien plus intéressants que le mien.
      Sans rancune et bonne journée.

  2. 1) Tout d’abord merci d’avoir publié mon commentaire, tu avais tout à fait le droit de le censurer. J’ai eu le même genre de problème technique que toi, il a fallu que je m’y reprenne à trois fois pour écrire le mien.

    Remettons tout d’abord le rôle de chacun en perspective : Ceci est TON blog, et je ne crois pas que qui que se soit remette ça en doute. En tous cas pas moi.

    Donc tu es parfaitement libre de ta ligne éditoriale, et responsable du contenu de ce que tu y publies.

    Je n’ai pas non plus d’état d’âme sur le fait que certains articles soient non non sponsorisés, même si je préférerais que cette mention soit toujours présente lorsqu’ils le sont (Non, je n’ai pas eu la curiosité d’aller voir dans les articles précédents si la mention était indiquée, pour te dire à quel point ça m’indiffère)

    Tu as donné à tes lecteurs la possibilité de commenter les articles, tout en te préservant le droit de censurer les commentaires,

    Donc j’aurais pu décider de passer mon chemin ailleurs comme tu me le recommandes OU PAS, et j’ai choisi cette seconde solution, parce que j’ai estimé qu’elle s’imposait, d’autant que j’ai du m’y reprendre à 3 fois pour répondre.

    J’ai 64 ans, le temps m’est en principe plus compté qu’à toi, même sans tenir compte du virus, et plus il passe, plus j’ai conscience de sa valeur.

    Donc si j’ai choisi de répondre sur TON blog entre 4h et 6h du matin le jour même où j’ai eu la chance de revenir du Maroc, alors que des dizaines de milliers de personnes y sont encore bloqués, ce n’était ni par désœuvrement, ni pour quelque autre motif, que de t’indiquer comment ton article incontournable me faisait réagir.

    2) Reprenons ton premier paragraphe : « Je venais d’écrire un joli pavé respectueux et explicatif en réponse à ton commentaire.
    Fausse manip, il s’est effacé et comme j’ai également une vie en dehors du blog, je vais essayer de te répondre de façon concise et respectueuse. Comme tu fais l’effort de ne pas me donner de leçons (je ne suis peut être pas tout à fait d’accord sur ce point mais c’est un ressenti personnel, passons), je fais l’effort de faire preuve de tact et de diplomatie. »

    Il me laisse deux possibilités pour comprendre ton ressenti : La première est que tu considères que j’aie pu être irrespectueux en l’écrivant, et si c’est le cas j’aimerais bien savoir où et comment car chaque terme était pesé.

    Je suis un type profondément respectueux, tout au moins de tous ceux qui le sont.

    La deuxième est que tu fus tentée de me faire une réponse irrespectueuse.

    Peut-être les deux possibilités sont elles vraies simultanément.

    Quoi qu’il en soit, j’ai l’impression que mon commentaire, au delà du déplaisir t’a mis très en colère, et je voudrais te rappeler le mot de Beaumarchais : « Sans la liberté de blâmer, il n’est pas déloge flatteur »

    Si tu ne veux pas avoir à lire des commentaires comme le mien, il suffit d’en retirer l’option. Avec Worldpress un clic de sélection suffit, et écrire un commentaire négatif n’équivaut en rien à manquer de respect à le personne auquel il s’adresse.

    La question ne se pose même pas de savoir si je blâme à bon escient ou non, ou si la personne que je suis est tellement parfaite qu’elle a le droit de blâmer. Je blâme si je veux ou non, parce que la possibilité m’en est offerte.

    Ceci étant cet article m’a fait réagir, j’ai estimé avoir des choses intéressantes à dire à ce propos, j’aurais pu aller voir ailleurs, mais j’ai décidé de ne pas m’en priver, car tel était mon DROIT sur TON blog.

    3) Parlons un peu de ma propension à donner des leçons. Je la connais, je fais tout pour la maîtriser, et je sais faire la différence entre donner des leçons et réagir si ça peut apporter quelque chose.

    Alors pourquoi donc ai-je décidé de perdre mon temps, et pris la peine de t’apostropher à ce sujet?

    Avant de répondre à ça, je voudrais te raconter une autre histoire vécue (désolé de me mettre en avant une autre fois). L’intérêt d’avoir 64 ans et de vivre une vie riche, c’est qu’on a une pléthore d’histoires à raconter 🙂 :

    Il y a environ 3 ans, j’ai loué une chambre de vacances dans une grande maison des philippines en plein milieu de la cambrousse.
    Le propriétaire que j’ai rencontré ( il m’a même invité à sa table) était une personne cultivée, juriste, fils d’un ancien membre du congrès, catholique très pratiquant.

    Je suis moi-même profondément croyant, mais je ne participe à aucune religion, encore moins à aucune secte, Je ne fais et je n’ai fait aucun prosélytisme, même à l’égard de mes enfants.

    Au delà de posséder cette grande maison d’hôtes en parfait état, car il distribuait aussi les aides venant des ONG après les catastrophes naturelles, ce monsieur possédait 90 Ha de cocoteraie, et une palanquée de locataires à qui il exigeait 30% de leurs récoltes (ce qui était interdit dans son pays depuis plus de 40 ans).

    Quant à ses employés rémunérés, ils n’avaient aucun contrât de travail, aucune couverture sociale ou de retraite, et étaient payés de surcroît bien en dessous du minimum légal (et aux philippines ce n’est pas lourd).

    Au delà de ça, il se préparait à expulser certains de ses locataires parce qu’ils avaient eu le défaut de lui déplaire un peu.

    Je serais resté une semaine dans le coin, je ne me serais rendu compte de rien, mais j’avais loué pour un mois dans l’intention d’y faire une retraite spirituelle, et je m’étais lié avec les villageois parce que je faisais de la marche, et que je cuisinais de friandises pour les enfants (sans Monsieur cuisine).

    J’ai donc demandé des explications à ce propriétaire féodal, et en synthèse, il m’a dit de passer de bonnes vacances et de le laisser gérer ses affaires comme il l’entendait.

    Mais je ne pouvais évidemment pas regarder ailleurs.

    Je lui ai fait une réponses sur 2 volets : le droit et la spiritualité

    En ce suis concerne le droit, j’ai commencé par lui dire que je n’étais pas chez lui pour faire la révolution, et que je souhaitais juste le bonheur de chacun.

    En synthèse je lui ai dit qu’il ne pouvait pas ignorer que sa gestion du domaine était illégale (je m’étais plongé dans le droit Philippin), que la seule chose qui le sauvait c’est que ses locataires avaient trop peur de perdre leur domicile pour se mettre en porte à faux avec lui, mais que s’ils en venaient à être expulsés, ils me trouveraient à leur côté pour les aider, et que ça ne me coûterait pas un sou parce que je lèverais des fonds sur internet pour ça.

    Sur le plan de la spiritualité, je lui ai dit que s’il continuait à agir comme ça, il n’était pas nécessaire qu’il perde son temps à faire des génuflexions à l’office tous les dimanches, et qu’il y avait l’idée fausse répandue chez les catholiques, qu’après avoir été abominable toute sa vie, il suffirait de faire mine d’une repentance sincère au moment de l’extrême onction, pour mériter le paradis quand même.

    Je lui ai dit que si les rennes du pardon ou de la punition avant été entre les mains de Jésus, ses derniers mots (tels qu’on nous les a rapportés) n’auraient pas été : « Père, pardonne leur car ils ne savent pas ce qu’ils font ». Je lui ai dit aussi que si Dieu m’avait placé sur sa route, c’était pour lui donner l’opportunité de changer son attitude.

    J’ignore la quelle de mes remarques a porté, mais je sais que ses locataires n’ont pas été expulsés.

    Quant à moi, je savais que cet homme avait le bras assez long pour qu’on puisse placer et retrouver par exemple de la drogue dans mes bagages la prochaine fois que je serais allé aux philippines de façons à m’y enfermer pour très longtemps, et ça ne m’a pas empêché de m’y rendre à nouveau, même si j’étais dans mes petits souliers en franchissant la frontière.

    Malgré tout ça, l’une des personnes que j’ai aidées a probablement tenté par la suite de m’escroquer sur les frais médicaux d’une petite fille, mais ça c’est une autre histoire 🙂 , et on ne fait pas le bien pour obtenir de la reconnaissance en retour.

    Bref, me suis-je mêlé de ce qui ne me regardait pas? certainement, ai-je été donneur de leçons? assurément, étais-je qualifié pour donner des leçons, je pense que oui.

    Ce qui importe c’est deux choses : A) le résultat. Ces gens n’ont pas été expulsés, et il n’y avait personne d’autre dans le coin pour obtenir ça, B) ai-je commis un péché même d’orgueil (je ne suis pas catholique mais c’est un concept qui me parle) en prenant cette position ou en le racontant aujourd’hui ? je ne le crois pas. Ceci étant, je ne suis pas un type parfait, je ne tends pas la joue droite quant on m’a frappé sur la joue gauche, et il m’arrive de faire le mal pour me défendre, ou même par faiblesse.

    En aucun cas, je n’essaye de me faire passer pour meilleur que je ne le suis.

    Répondons à la question que j’ai posée plus haut : pourquoi ai-je passé autant de temps à commenter et à répondre à ta réponse?

    Tu peux rester dans ta colère et continuer à penser que j’ai commis un crime de lèse TON blog, Tu peux aussi continuer à considérer que si ta vie réelle est riche, peu importe que ta voix ne le soit pas,

    Mais tu peux aussi prendre ça comme un cadeau, et comme l’opportunité d’utiliser ta (petite) notoriété pour en faire quelque chose de plus utile aux gens, même si la « mission du printemps :le marquage des vêtements » est un must read absolu. l’un n’empêche pas l’autre.

    Quant à ta capacité à « contribuer à l’élévation des âmes de chacun », elle est toujours présente et ne dépend que de toi. Pas besoin d’apporter le grand soir pour contribuer. Par petites touches successives ça marche aussi.

    En synthèse, tu peux choisir de rester dans ta colère, ou de prendre le cadeau et changer des choses dans tes sujets.

    Le choix est tien.

    Pour ma part je voulais te faire part de mon ressenti et te donner l’opportunité de réfléchir sur la portée de tes articles, et quelle que soit la suite, j’ai fait mon taf.

    Quoi que tu décides, ça aura très peu d’incidence sur ma vie, mais ça pourra en avoir sur celle de tes abonné(e)s. En plus, va savoir, peut être aussi sur tes terreurs nocturnes (je sais aussi écouter).

    Il ne me reste plus qu’une seule chose à te dire, reprenant Buzz L’éclair : « Vers l’infini et au delà » 🙂

    1. Merci pour cet eclaircissement. Je ne suis pas en colère, juste un peu perplexe face à cette réaction en fait.
      Je ne critique pas, mais honnêtement je pense que chacun d’entre nous perd son temps en argumentant tout en sachant qu’on ne sera pas d’accord.
      Cela peut être constructif, certes, c’est pourquoi comme tu le soulignes chacun est libre de commenter.
      Je n’épiloguerai pas et je resterai sans doute dans mon ignorance et ma futilité toutes relatives mais comme tu le dis c’est mon choix.

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